Bienvenidos a Perú
Hola !
Retourner au Pérou… Depuis le temps que j’en rêvais ! Il m’aura fallu 31 ans pour y parvenir. Faut croire que je suis lent ou alors que j’ai vieilli ou encore les deux.
Si initialement j’envisageais un retour professionnel, la première expérience ayant tourné court(*), la perspective s’est progressivement éloignée pour laisser place à un projet de voyage dans un pays et des paysages que j’avais adorés. Mais voilà, le projet fut toujours remis à plus tard.
Mais cette fois ça y est, c’est fait. Et je vous le dis tout de go, ce fut GRANDIOSE !
Je ne voulais pas y retourner pour 2 ou 3 semaines. Je souhaitais avoir le temps de redécouvrir ce pays et de permettre à Martine d’en percevoir tranquillement les charmes et ses multiples facettes. Alors on a bloqué l’agenda pour 8 semaines (mi-septembre / mi-novembre). Et malgré cette disponibilité temps, un luxe de nos jours, nous avons décidé de nous concentrer uniquement sur la partie Sud du pays avec comme point de chute principal Cusco, le nombril du Monde pour les Incas qui en avaient fait leur capitale.
Pour une fois nous avons voyagé sur un mode différent : pas de moto (snif !), ni camping itinérant mais bus, colectivos (mini bus), taxis et aussi trains. Côté hébergement, nous avons loué un petit appartement comme pied à terre principal à Cusco et sommes allés à l’hôtel lors de nos échappées de quelques jours.
Du désert côtier le long du Pacifique à l’Amazonie en passant par les Andes, le Pérou offre une grande diversité de paysages et de climats. Celui que je souhaitais avant tout retrouver était celui des Andes et ses paysages magnifiques où l’on se sent si petit. Nous avons donc très vite pris de l’altitude pour dépasser allègrement les 3 000 puis les 4 000 et enfin les 5 000 mètres. Bref, en ces contrées vous prenez vite de la hauteur, et je ne vous parle pas de la hauteur d’âme.
Le Pérou c’est aussi une incroyable richesse culturelle héritée des Incas et des civilisations pré-incaïques. Musées, sites archéologiques et ruines en tout genre auront donc été au RDV et ce, au-delà de l’incontournable mais toujours aussi magique Machu Picchu.
Quant à la culture d’aujourd’hui, elle est bien vivante et s’exprime à chaque instant. Les péruviens aiment faire la fête et sont très attachants. La rue, les marchés, les villages et les gens dégagent ainsi des ambiances très colorées, dans tous les sens du terme ; un vrai régal !
Enfin, j’espérais vivement que ce voyage me permette de reprendre contact avec d’anciens collègues perdus de vue depuis plus de 30 ans et, si possible, de retourner dans ces contrées perdues des provinces d’Espinar, de Chumbivilcas et de Cotabambas dans les départements de Cusco et de l’Apurimac où à l’époque j’avais traîné mes guêtres au sein d’un projet de développement en soutien à des organisations paysannes. Plus que des ex collègues j’ai retrouvé des amis et ces retrouvailles furent des plus chaleureuses. Nous sommes aussi retournés sur 2 des zones de travail de l’ancien projet. Là encore, mais pour des raisons différentes, la charge émotionnelle fut au rendez-vous. Assurément, sans ces retrouvailles, ce voyage n’aurait pas été le même.
Voilà, GRANDIOSE qu’on vous dit ! En espérant pouvoir ici en partager avec vous la teneur.
¡Feliz viaje! (Bon voyage !)
D’Jo
(*) J’y ai travaillé en 1987/1988 pour une ONG française dans le développement agricole.
Retourner au Pérou… Depuis le temps que j’en rêvais ! Il m’aura fallu 31 ans pour y parvenir. Faut croire que je suis lent ou alors que j’ai vieilli ou encore les deux.
Si initialement j’envisageais un retour professionnel, la première expérience ayant tourné court(*), la perspective s’est progressivement éloignée pour laisser place à un projet de voyage dans un pays et des paysages que j’avais adorés. Mais voilà, le projet fut toujours remis à plus tard.
Mais cette fois ça y est, c’est fait. Et je vous le dis tout de go, ce fut GRANDIOSE !
Je ne voulais pas y retourner pour 2 ou 3 semaines. Je souhaitais avoir le temps de redécouvrir ce pays et de permettre à Martine d’en percevoir tranquillement les charmes et ses multiples facettes. Alors on a bloqué l’agenda pour 8 semaines (mi-septembre / mi-novembre). Et malgré cette disponibilité temps, un luxe de nos jours, nous avons décidé de nous concentrer uniquement sur la partie Sud du pays avec comme point de chute principal Cusco, le nombril du Monde pour les Incas qui en avaient fait leur capitale.
Pour une fois nous avons voyagé sur un mode différent : pas de moto (snif !), ni camping itinérant mais bus, colectivos (mini bus), taxis et aussi trains. Côté hébergement, nous avons loué un petit appartement comme pied à terre principal à Cusco et sommes allés à l’hôtel lors de nos échappées de quelques jours.
Du désert côtier le long du Pacifique à l’Amazonie en passant par les Andes, le Pérou offre une grande diversité de paysages et de climats. Celui que je souhaitais avant tout retrouver était celui des Andes et ses paysages magnifiques où l’on se sent si petit. Nous avons donc très vite pris de l’altitude pour dépasser allègrement les 3 000 puis les 4 000 et enfin les 5 000 mètres. Bref, en ces contrées vous prenez vite de la hauteur, et je ne vous parle pas de la hauteur d’âme.
Le Pérou c’est aussi une incroyable richesse culturelle héritée des Incas et des civilisations pré-incaïques. Musées, sites archéologiques et ruines en tout genre auront donc été au RDV et ce, au-delà de l’incontournable mais toujours aussi magique Machu Picchu.
Quant à la culture d’aujourd’hui, elle est bien vivante et s’exprime à chaque instant. Les péruviens aiment faire la fête et sont très attachants. La rue, les marchés, les villages et les gens dégagent ainsi des ambiances très colorées, dans tous les sens du terme ; un vrai régal !
Enfin, j’espérais vivement que ce voyage me permette de reprendre contact avec d’anciens collègues perdus de vue depuis plus de 30 ans et, si possible, de retourner dans ces contrées perdues des provinces d’Espinar, de Chumbivilcas et de Cotabambas dans les départements de Cusco et de l’Apurimac où à l’époque j’avais traîné mes guêtres au sein d’un projet de développement en soutien à des organisations paysannes. Plus que des ex collègues j’ai retrouvé des amis et ces retrouvailles furent des plus chaleureuses. Nous sommes aussi retournés sur 2 des zones de travail de l’ancien projet. Là encore, mais pour des raisons différentes, la charge émotionnelle fut au rendez-vous. Assurément, sans ces retrouvailles, ce voyage n’aurait pas été le même.
Voilà, GRANDIOSE qu’on vous dit ! En espérant pouvoir ici en partager avec vous la teneur.
¡Feliz viaje! (Bon voyage !)
D’Jo
(*) J’y ai travaillé en 1987/1988 pour une ONG française dans le développement agricole.