La Vallée sacrée
La vallée sacrée des Incas s’étend de Pisac à l’est jusqu’à Ollantaytambo à l’ouest, le long du rio Urubamba (ici appellé Vilcanota) qui, plus à l’ouest, passe au pied du fameux Machu Picchu.
Située aux portes de Cusco, la vallée sacrée était le grenier des Incas qui y cultivaient entre autres le maïs, base de l’alimentation et plante sacrée. Les cultures se faisaient en fond de vallée mais également sur des terrasses aménagées à flanc de montagne, déjouant parfois les lois de la verticalité. Plusieurs sites comptaient également avec des aménagements hydrauliques impressionnants toujours fonctionnels.
La vallée compte avec une densité impressionnante de sites archéologiques incas devant lesquels on reste parfois baba ! On y trouve aussi d’autres sites et villages dignes d’intérêt.
Située aux portes de Cusco, la vallée sacrée était le grenier des Incas qui y cultivaient entre autres le maïs, base de l’alimentation et plante sacrée. Les cultures se faisaient en fond de vallée mais également sur des terrasses aménagées à flanc de montagne, déjouant parfois les lois de la verticalité. Plusieurs sites comptaient également avec des aménagements hydrauliques impressionnants toujours fonctionnels.
La vallée compte avec une densité impressionnante de sites archéologiques incas devant lesquels on reste parfois baba ! On y trouve aussi d’autres sites et villages dignes d’intérêt.
Le Machu Picchu
Classé parmi les 7 merveilles du monde, le Machu Picchu est sans conteste un des sites précolombiens les plus spectaculaires d’Amérique du Sud. Cette ancienne cité royale inca du XVe s située à 2 438 m d’altitude surplombe l’Urubamba dans une verticalité rendant le site très difficile d’accès. Jamais achevée, la véritable vocation de celle-ci, abandonnée au moment du déclin de l’empire inca, reste à découvrir.
Perché sur un promontoire rocheux le site présente un ensemble architectural impressionnant démontrant toute la maîtrise des arts de la construction et de l’aménagement des incas, d’autant que nous sommes ici dans une zone à forte activité sismique. L’harmonie entre les constructions et les montagnes environnantes saute également aux yeux. La partie agricole du site, aménagée autour d’un ensemble de terrasses, n’en est pas moins impressionnante quant aux défis lancés à la verticalité des lieux et à la maîtrise de l’eau.
Devenue la poule aux œufs d’or de l’activité touristique du Pérou, le site est par contre désormais sur-fréquenté, ce qui pourrait bien représenter sa perte malheureusement. Il est loin le temps où après 4 jours de marche dans des paysages magnifiques (avec plusieurs cols à plus de 4 000 m d’altitude), le voyageur arrivait au petit matin sur le site par l’Intipunku (la porte du soleil) et pouvait jouir du site où tout au plus une vingtaine de visiteurs s’y « bousculaient ».
C’est donc avec un peu de nostalgie de cette ambiance des années 1987/88 que D’Jo a redécouvert pour la troisième fois le Machu Picchu. S’il n’y a pas retrouvé ces conditions privilégiées de visite, il n’en a pas moins retrouvé la magie qui se dégage de ces lieux. Et le crachin persistant du jour n’aura aucunement entamé celle-ci, bien au contraire.
Classé parmi les 7 merveilles du monde, le Machu Picchu est sans conteste un des sites précolombiens les plus spectaculaires d’Amérique du Sud. Cette ancienne cité royale inca du XVe s située à 2 438 m d’altitude surplombe l’Urubamba dans une verticalité rendant le site très difficile d’accès. Jamais achevée, la véritable vocation de celle-ci, abandonnée au moment du déclin de l’empire inca, reste à découvrir.
Perché sur un promontoire rocheux le site présente un ensemble architectural impressionnant démontrant toute la maîtrise des arts de la construction et de l’aménagement des incas, d’autant que nous sommes ici dans une zone à forte activité sismique. L’harmonie entre les constructions et les montagnes environnantes saute également aux yeux. La partie agricole du site, aménagée autour d’un ensemble de terrasses, n’en est pas moins impressionnante quant aux défis lancés à la verticalité des lieux et à la maîtrise de l’eau.
Devenue la poule aux œufs d’or de l’activité touristique du Pérou, le site est par contre désormais sur-fréquenté, ce qui pourrait bien représenter sa perte malheureusement. Il est loin le temps où après 4 jours de marche dans des paysages magnifiques (avec plusieurs cols à plus de 4 000 m d’altitude), le voyageur arrivait au petit matin sur le site par l’Intipunku (la porte du soleil) et pouvait jouir du site où tout au plus une vingtaine de visiteurs s’y « bousculaient ».
C’est donc avec un peu de nostalgie de cette ambiance des années 1987/88 que D’Jo a redécouvert pour la troisième fois le Machu Picchu. S’il n’y a pas retrouvé ces conditions privilégiées de visite, il n’en a pas moins retrouvé la magie qui se dégage de ces lieux. Et le crachin persistant du jour n’aura aucunement entamé celle-ci, bien au contraire.
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