Le long du Pacifique
La bande côtière Pacifique du Pérou est une zone désertique des plus arides en dehors de quelques oasis autour des embouchures de fleuves descendant des Andes. Le courant froid d’Humboldt arrivant directement de l’Antarctique longe le pays sur sa plus grande longueur lui procurant des eaux poissonneuses mais peu propices à la baignade. Ce courant froid crée en certaines régions, notamment sur Lima, un phénomène de crachin dit garua dû à une évaporation des eaux de mer qui ne peut s’évacuer « buttant » sur la chaîne des Andes.
Après la visite très partielle de Lima, nous rejoindrons par bus Arequipa , 1 000 km plus au sud, via une pause à Nazca. Ce trajet le long de la route panaméricaine n’est pas de ceux qui vous laissent un souvenir inoubliable. Pour notre part nous l’avons trouvé plutôt ennuyeux.
Après la visite très partielle de Lima, nous rejoindrons par bus Arequipa , 1 000 km plus au sud, via une pause à Nazca. Ce trajet le long de la route panaméricaine n’est pas de ceux qui vous laissent un souvenir inoubliable. Pour notre part nous l’avons trouvé plutôt ennuyeux.
Lima
En dehors des chaleureuses retrouvailles avec Raquel et Yves, Lima ne nous aura pas laissé un souvenir impérissable. Nous n’avons qu’un goût très limité pour les villes en général, alors appréhender une mégapole de près de 10 millions d’habitants aux allures parfois chaotiques telle que Lima, nous fut difficile. Fort heureusement Raquel nous aura permis d’apprécier les quartiers, plutôt aisés disons-le, de Miraflores, San Isidro et Pueblo Libre.
En dehors des sentiers touristiques, nous avons par contre beaucoup aimé la visite du LUM (Lugar de la Memoria, la Tolerancia y la Inclusión Social) qui permet de mieux comprendre les évènements terribles des années noires du Pérou (1980/2000). Nos remerciements à Philippe Guinand, responsable de la délégation du CICR (Comité International de la Croix Rouge) à Lima qui nous a fait découvrir cet équipement.
En dehors des chaleureuses retrouvailles avec Raquel et Yves, Lima ne nous aura pas laissé un souvenir impérissable. Nous n’avons qu’un goût très limité pour les villes en général, alors appréhender une mégapole de près de 10 millions d’habitants aux allures parfois chaotiques telle que Lima, nous fut difficile. Fort heureusement Raquel nous aura permis d’apprécier les quartiers, plutôt aisés disons-le, de Miraflores, San Isidro et Pueblo Libre.
En dehors des sentiers touristiques, nous avons par contre beaucoup aimé la visite du LUM (Lugar de la Memoria, la Tolerancia y la Inclusión Social) qui permet de mieux comprendre les évènements terribles des années noires du Pérou (1980/2000). Nos remerciements à Philippe Guinand, responsable de la délégation du CICR (Comité International de la Croix Rouge) à Lima qui nous a fait découvrir cet équipement.
Les mystérieuses lignes de Nazca
A 400 km au sud de Lima, au cœur du désert côtier, Nazca est un centre touristique de première importance en raison des mystérieux dessins ou lignes de Nazca tapissant le sol. Ces géoglyphes sont présents sur des centaines de kilomètres carrés et de nouvelles lignes viennent encore d’être découvertes. Leur conservation n’est due qu’aux caractéristiques géologiques et climatiques des lieux (une des régions les plus sèches au monde).
Si les chercheurs s’accordent sur la période (de 500 ans avant J-C jusqu’à 500 ans après J-C), les civilisations ayant réalisé ces géoglyphes (Paracas, Nazca, Wari) et les techniques utilisées (déplacement des roches au sol laissant apparaître par contraste un sol clair), leur signification reste par contre un mystère total et donne lieu à moultes théories, parfois des plus farfelues. Pour en savoir plus.
Visibles seulement depuis le ciel, ces géoglyphes franchissent les reliefs sans que leur forme ou la rectitude des lignes soient affectées. Si depuis le sol vous ne voyez rien, depuis là-haut le spectacle est magique.
Alors, parés pour embarquer ? Attention aux embardées car le coucou est du genre poids plume et le pilote d’humeur taquine !
A 400 km au sud de Lima, au cœur du désert côtier, Nazca est un centre touristique de première importance en raison des mystérieux dessins ou lignes de Nazca tapissant le sol. Ces géoglyphes sont présents sur des centaines de kilomètres carrés et de nouvelles lignes viennent encore d’être découvertes. Leur conservation n’est due qu’aux caractéristiques géologiques et climatiques des lieux (une des régions les plus sèches au monde).
Si les chercheurs s’accordent sur la période (de 500 ans avant J-C jusqu’à 500 ans après J-C), les civilisations ayant réalisé ces géoglyphes (Paracas, Nazca, Wari) et les techniques utilisées (déplacement des roches au sol laissant apparaître par contraste un sol clair), leur signification reste par contre un mystère total et donne lieu à moultes théories, parfois des plus farfelues. Pour en savoir plus.
Visibles seulement depuis le ciel, ces géoglyphes franchissent les reliefs sans que leur forme ou la rectitude des lignes soient affectées. Si depuis le sol vous ne voyez rien, depuis là-haut le spectacle est magique.
Alors, parés pour embarquer ? Attention aux embardées car le coucou est du genre poids plume et le pilote d’humeur taquine !
Le désert côtier le long du Pacifique
Du sable à perte de vue, une grisaille tenace, une route panaméricaine bien monotone, l'océan Pacifique qui n'invite guère à la baignade et ceci sur des milliers de km. Heureusement que de temps à autre apparaît une oasis rafraîchissante.
Du sable à perte de vue, une grisaille tenace, une route panaméricaine bien monotone, l'océan Pacifique qui n'invite guère à la baignade et ceci sur des milliers de km. Heureusement que de temps à autre apparaît une oasis rafraîchissante.
Il nous tarde de prendre un peu de hauteur. Notre première étape dans les Andes
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